Ce lecteur réagit à l’interview du chercheur en psychologie sociale Pascal Wagner-Egger (La Gruyère du 18 mai).
Je tiens à dire d’emblée que je ne suis ni expert en médecine ni en psychologie et encore moins complotiste. Je trouve que le terme complotiste est trop souvent utilisé comme un fourre-tout. C’est pourquoi, je tiens à le remplacer par «questionniste».
Je ne parle pas des théories de la Terre plate ou de celles des reptiliens, car ce sont des raccourcis facilement utilisés pour dénigrer d’autres théories du complot, qui peuvent être, elles, bien documentées, pertinentes et sourcées.
Premièrement, l’auteur fait un amalgame. Définir les questionnistes comme des personnes atteintes de diverses pathologies: anxiété, paranoïa, niveau social bas, volonté d’être unique, etc. Comment…