Restrictions qui dérangent

A propos des restrictions sanitaires dans les églises.

Dimanche, en l’église de La Tour-de-Trême, j’estime qu’une aberration a été commise lors d’une messe d’anniversaire. Ma maman, décédée en avril 2020 du Covid, n’a eu droit à aucune cérémonie religieuse ni prières, puisque durant la première vague de la pandémie, les églises étaient fermées. Je me faisais donc un immense plaisir d’honorer sa mémoire au 1er anniversaire de son décès et de convier sa famille et ses amis pour lui rendre un hommage mérité. Mais voilà… L’Eglise catholique et la paroisse ont été à l’encontre de mes souhaits: la messe, célébrée à 19 h, a fait porte close dès 18 h 50, soit dix minutes avant son début. Beaucoup de personnes parentes et d’amis à ma maman, ainsi que ses petits-enfants, venant de Lausanne, Genève et Estavayer, arrivés à 18 h 50, n’ont pas pu rentrer dans l’église, car la porte était fermée. Je pensais quand même que la famille était prioritaire dans ces moments-là et passait devant les autres paroissiens… Jésus ne disait-il pas: «Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent.» Maintenant, je suis aigrie contre ces restrictions sanitaires et le canton. Car il y a un mois, j’ai assisté à une cérémonie semblable en Valais, où la famille était prioritaire et les portes de l’église restaient ouvertes pendant la cérémonie. Alors où est l’empathie à La Tour-de-Trême? Micheline Allemann, Bulle

Catégorie: 

Annonces Emploi

Annonces Événements

Annonces Immobilier

Annonces diverses