Une chanson, son histoire ou les souvenirs qui lui sont liés: tel est l’objet de cette chronique, issue de «Je ne laisserai jamais dire que ce n’est pas la plus belle chanson du monde». Un blog décliné en deux livres.
JOYEUX BORDEL. Une vingtaine d’années déjà que j’écoute Brassens. En boucle. J’aime toutes ses chansons. Les connues, les moins connues, les contestataires, les polissonnes, les tendres, les posthumes. Je me prosterne devant L’orage, révère Mourir pour des idées, m’extasie pour Supplique pour être enterré sur la plage de Sète, lève mon verre pour Le bistrot, reprend à tue-tête Putain de toi, me perds Dans l’eau de la claire fontaine, et m’émeus aux larmes pour Les passantes.
Alors pourquoi Hécatombe?
J’ai une tendresse particulière pour ses chansons libertaires de jeunesse,…