Vendredi, à Morlon, Rohina Samim organisait une soirée en faveur des femmes afghanes. Fondatrice de l’association Hope for Afghan Women, elle livre un peu de son combat, mais aussi de ses craintes.

ANN-CHRISTIN NÖCHEL

RENCONTRE. Sous la grande toile blanche installée sur la terrasse de la buvette Goya Onda, une soixantaine de personnes se délecte de bolanis aux pommes de terre, un plat afghan très apprécié. La conteuse Sima Dakkus entame un poème sur la liberté, en perse d’abord, avant de le traduire en français. Aux tenues colorées et amples se greffent jeans et mocassins. Les âges, les genres et les origines ethniques se mélangeaient joyeusement vendredi soir à Morlon.

«J’aimerais mieux faire connaître mon association et entrer en contact avec différentes communes de Suisse romande pour…