Le Théâtre des Osses ouvre sa saison avec Lettres à nos aînés. Un moment de profonde humanité, où l’émotion jaillit de la simplicité.
ÉRIC BULLIARD
GIVISIEZ. Ces mots comme des lumières dans la nuit. Ils parlent d’un temps encore proche, mais déjà si différent: ces semaines où l’on applaudissait aux fenêtres. Dans la simplicité des Lettres à nos aînés, une émotion vous saisit et l’on a l’impression de vivre un moment de profonde humanité que le Théâtre des Osses, à Givisiez, partage jusqu’à dimanche.
Ces 19 textes ont été sélectionnés parmi les 52 parus dans La Liberté et d’autres quotidiens romands entre le 25 mars et le 29 mai 2020. A l’époque où l’effarement succédait à la surprise, où l’on ne comprenait pas ce qui nous arrivait, mais où une chose semblait certaine: nous nous en…