Du rififi dans le surimi

mar, 07. sep. 2021

FRANCE 5, MARDI, À 20 H 55

Bâtonnets, dés, suprêmes, médaillons, rillettes, râpé, découpé en tranche: le surimi existe sous toutes les formes. Apparu sur le marché européen il y a une vingtaine d’années, son succès est fulgurant. Chaque famille française en mange en moyenne trois kilos par an: l’Hexagone est le second consommateur mondial après le Japon. Ni gras ni trop protéiné, le surimi n’est composé ni de crabe ni de déchets de poissons. Pourtant, à l’origine, ce produit est un art. Appelé kamaboko au Japon, signifiant «chair de poisson», le surimi traditionnel en contient presque 100%. ■

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