Sept mois après les épisodes de grêle qui avaient fortement touché la Gruyère, les corps de métier croulent encore sous les demandes de réparations. L’ECAB estime à 60 millions de francs les dégâts.
ÉLODIE FESSLER
TRAVAUX. Quiconque se promène en région bulloise peut constater que de nombreuses toitures, façades, stores ou voitures portent encore des traces d’impact de grêlons. Sept mois après les épisodes orageux qui avaient déferlé sur le sud du canton (La Gruyère du 29 juin), les différents corps de métiers concernés sont unanimes: le travail est loin d’être terminé.
«Cela ne s’est pas calmé, nous travaillons encore comme des fous!» lance Didier Berset, directeur de la carrosserie Berset à La Tour-de-Trême. Ce dernier a reçu 500 dossiers depuis l’été passé. «La moitié des automobiles ont…