Dans leur dernier rapport, les scientifiques du GIEC rappellent l’urgence de la situation et listent les changements à opérer afin de limiter le réchauffement climatique. Chef du Service de l’environnement du canton, Christophe Joerin réagit.
VALENTIN CASTELLA
À chaque publication, une angoissante impression de fin du monde. Depuis plusieurs années, le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) tire la sonnette d’alarme sur l’état de la planète. Après avoir inventorié les conséquences du réchauffement climatique, telles que la montée des mers, la fonte des glaciers ou l’augmentation des cyclones, il a énuméré lundi les mesures à appliquer afin de limiter la hausse de 1,5° C par rapport à l’ère préindustrielle.
Chef du Service de l’environnement du canton,…