Police, justice, préfectures et médecin cantonal se liguent contre les intoxications au GHB.
Une directive assure la gratuité de la prise en charge en cas de doute et l’absence de poursuites en cas de prise volontaire d’autres drogues.
Le monde de la nuit salue la démarche qui poussera à réagir rapidement au moindre doute.
JEAN GODEL
PRÉVENTION. Ce printemps, la psychose d’une vague de piqûres au GHB – la drogue du violeur – dans les boîtes de nuit s’est propagée comme une traînée de poudre. Elle a fait suite à diverses suspicions d’attaques et à des cas de femmes victimes de malaises ou de pertes de connaissance inexpliquées lors de soirées festives.
Les institutions compétentes fribourgeoises affirment avoir pris toute la mesure du phénomène. C’est pourquoi, avant les grands événements de…