Une femme de Rossinière a accusé Clauda Combaz de sorcellerie. Durant son interrogatoire, cette dernière admet avoir été mariée à un homme qui est décédé des suites d’une maladie. Elle assure n’avoir aucune implication dans sa mort. De même, elle nie avoir donné à boire ou à manger à des gens ou des animaux qui ont péri. Torturée à trois reprises, jamais elle n’avouera les crimes dont on l’accuse. En revanche, elle admet avoir crié comme un animal dans un pré. Clauda Combaz avait en fait trop bu. Enivrée, elle était «privée de son bon entendement». Malgré ses justifications, Clauda Combaz est bannie en 1608. AD