Association égratignée
A propos du projet Goya Onda.
En lisant l’article «Un village au creux de la vague» paru dans La Gruyère du 28 juillet, j’ai bondi. Il est écrit que l’association citoyenne fait preuve d’un acharnement borné pour défendre des intérêts personnels. Est-ce donc être borné que de défendre ses droits? Droit à la paix, à la possibilité de ne pas subir une invasion de touristes et de curieux, à habiter un lieu choisi pour sa tranquillité, afin d’échapper au tumulte de la ville, précisément.
Ce n’est, selon moi, pas le seul article dans lequel l’association citoyenne est égratignée, parce qu’elle tente simplement de sauvegarder ses prérogatives. Je ne parle pas de l’aspect écologique, un chapitre à lui seul, mais qui concerne les intérêts de toute la communauté. Pour…