A propos de la hausse des prix.
Par un effet concomitant à la guerre en Ukraine, on vit une vague spéculative parfaitement orchestrée secouant le monde entier. Elle touche pratiquement tous les produits commercialisés hormis, momentanément, les médicaments. Certes, ce sport a toujours existé. Cependant, lorsque le monde connaît une situation paisible, la spéculation est plutôt appréhendée comme un vice ordinaire.
Dans un contexte conflictuel, des vautours opportunistes, lisez des spéculateurs à la morale au niveau des talonnières, la font passer de l’indécence à l’orgie.
Le bon exemple du racket associé à l’exercice auquel on assiste est le prix de l’essence dopé par une activité boursière frénétique. Elle résulte d’une menace imaginaire de pénurie brandie avec une légèreté enfantine…