Dans la Feuille officielle du 27 janvier, un avis suscitait la curiosité. La police cantonale appelait toutes les personnes qui se sont vu séquestrer, entre le 1er janvier et le 31 décembre 2017, des armes, des accessoires d’armes, des munitions ou des objets dangereux au sens de la loi à se manifester auprès de la section armes, pyrotechnie et explosifs (APEx) afin d’en solliciter la restitution. Ceci, dans un délai de soixante jours après la parution.
«Ce sont des armes qui ont été séquestrées pénalement, ou alors séquestrées auprès de personnes représentant un danger pour ellesmêmes ou pour autrui», explique la police cantonale. En fait, cet avis paraît chaque début d’année, sachant que la police conserve les objets en question pour une durée déterminée (cinq ans pour les armes à feu,…