Contre l’avis du Conseil d’Etat, le parlement a ancré le principe d’une application «chasse et pêche» dans la loi.
DIGITALISATION. Il est urgent d’attendre. C’est en tout cas ce que les motionnaires ont compris dans la réponse du Conseil d’Etat à leur demande du développement d’une application «chasse et pêche». Le Gouvernement justifiait alors son refus estimant qu’un tel projet ne dépend pas «d’une obligation légale, mais bien de la disponibilité des ressources financières comme techniques». Dans cette réponse, il détaillait aussi deux projets qui «doivent être réalisés dans les années à venir».
«Une réponse qui m’a laissé pantois», s’est indigné le comotionnaire Bernard Bapst (udc, Hauteville), déclinant les avantages d’une telle application qui deviendrait «les yeux et les oreilles…