En peignant, Chessex se vidait la tête

jeu, 13. jui. 2023

«Je ne peins pas avec la pensée, je peins avec mon corps, avec mon plexus solaire. Je vide ma tête, quand je peins, alors que je l’utilise tout le temps quand j’écris.» Ainsi Jacques Chessex expliquait-il, en 2003, son besoin quotidien de pratiquer les arts plastiques. Comme Friedrich Dürrenmatt, l’écrivain de Ropraz a mené de front les deux activités.

Sa peinture est toutefois restée dans l’ombre de ses écrits, même si l’auteur de L’ogre a exposé de son vivant, notamment à la Galerie
Planque de Lausanne, en 2000.
Il est d’ailleurs mort la veille du vernissage d’une exposition à Soleure, le 9 octobre 2009. Il y a deux ans, la galerie Aarlo u Viggo à Buchillon (VD) a également présenté ce travail méconnu, où l’on retrouve certaines de ses obsessions, le sexe, la mort, mais aussi la figure…

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