En cas de catastrophe, les communes peuvent activer leur point de rencontre d’urgence.
Val-de-Charmey et deux autres communes en ont fait l’expérience en novembre dernier, à la suite d’une panne du réseau mobile.
Reste à clarifier certaines responsabilités dans la direction opérationnelle de ce nouveau concept.
PHILIPPE HUWILER
SECOURS. En cas de catastrophe ou de situation d’urgence, on ne sonne plus guère le tocsin. Les abris que représentaient les églises par le passé ont été remplacés par les points de rencontre d’urgence (PRU). Ce concept a été initié par la Confédération lors du risque de pénurie énergétique de l’hiver dernier.
Dans ces lieux de rendezvous, la population doit pouvoir obtenir toutes les informations nécessaires et trouver l’assistance dont elle a besoin. Il s’agit…