A propos de la révision de la loi sur les affaires culturelles
(La Gruyère du 13 février).
Le projet de la nouvelle loi sur les affaires culturelles (LAC) mérite qu’on soulève le couvercle de la marmite dans laquelle mijote la recette de la Direction de la formation et des affaires culturelles. Un potage «Concept» où macèrent la territorialité urbaine et extra-urbaine, sa valorisation, sa diffusion, ses interactions cantonales et communales. Tout cela cuit à feu doux pour obtenir un velouté égalitaire entre amateurs et professionnels, une égalité digne des grands écarts de la cuisine moléculaire puisqu’elle gardera plus égalitaire le goût professionnel que le goût amateur…
Et pour les aromates, pas trace d’un projet de droit de prêt des bibliothèques au profit des auteurs et autrices qui…