En réaction à un courrier consacré aux urgences hospitalières, paru dans La Gruyère de jeudi.

Les arguments en défaveur d’un hôpital régional doté d’urgences H24 avancés par Chantal Pythoud-Gaillard dans son courrier de lecteur sont erronés. L’exemple de l’infarctus est hors sujet, car ce type de pathologie, tout comme les AVC, n’est pas pris en charge dans un service d’urgences régionales. Le bon réflexe en cas d’urgence vitale est donc de composer le 144 pour un transport en ambulance vers un hôpital central. Si une urgence vitale devait néanmoins se présenter dans un hôpital régional, celle-ci serait stabilisée avant transfert vers l’hôpital central.

Par contre, l’hôpital régional et ses urgences sont à même de traiter l’écrasante majorité des autres cas déchargeant ainsi l’HFR de…