Sept mois après leur grève, les intervenants en protection de l’enfance maintiennent la pression et rappellent leurs revendications. Ils demandent qu’une vingtaine d’EPT leur soient attribués d’ici à la fin de la législature.
ANGIE DAFFLON
SEJ. Les intervenants en protection de l’enfance (IPE) ne veulent pas être oubliés. Jeudi matin, ils étaient une trentaine à assister à la conférence de presse coorganisée avec le Syndicat des services publics. Sept mois après leur grève, (La Gruyère du 21 novembre 2023), ces employés du Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ) tenaient à faire le point de la situation, qui reste «hautement problématique» selon Laurence Bugnon, intervenante au secteur de l’action sociale directe.
Pour mémoire, la grève a débouché sur une rencontre avec une délégation…