La souche de capricorne asiatique découverte en 2014 à Marly n’a pas pu être entièrement détruite. Les analyses ont confirmé que des individus ont survécu et se sont reproduits.

MARC-ROLAND ZOELLIG

NATURE. Les analyses génétiques ont parlé: le spécimen de capricorne asiatique récemment découvert par une jeune habitante de Marly provient en droite ligne de la souche détectée en 2014 sur le territoire de la commune sarinoise que l’on pensait avoir éradiquée en 2019. L’insecte ravageur, véritable fléau pour les arbres feuillus (lire ci-contre), a donc survécu à près de cinq ans de mesures de lutte ayant coûté plusieurs millions de francs. C’est cette mauvaise nouvelle, couplée à l’annonce d’un élargissement du dispositif mis en place l’automne dernier, qu’ont communiquée jeudi les autorités…