Les enfants et les adolescents du canton réclament une prise en charge psychiatrique de plus en plus importante. Un rapport liste quatorze mesures à mettre en place.
XAVIER SCHALLER
Le canton doit développer et améliorer ses prestations pédopsychiatriques. «Si beaucoup a déjà été fait, il reste encore du pain sur la planche», a résumé hier Philippe Demierre. Le directeur de la Santé et des affaires sociales a présenté à la presse un rapport sur les prestations ambulatoires et semi-stationnaires, qui fait suite à plusieurs interventions parlementaires. «Nous allons continuer à développer des offres qui sont essentielles à une bonne prise en charge de nos enfants et jeunes en souffrance.»
Les statistiques ne sont pas légion sur le sujet, mais on évalue que près d’un jeune sur six est concerné…