Dit en plénum
Une tape sur l’épaule et un bon coup dans le dos. C’est le combo réussi jeudi par Benoît Glasson (plr, Sorens) aux dépens de son collègue de groupe Daniel Savary (pvl, Avry-devant-Pont). Personne n’a vu venir la charge, alors que le débat portait sur l’actualisation du plan financier de l’Etat.
Au détour des réflexions générales sur la nécessité de prendre des mesures fortes, vu les sombres perspectives financières, le Sorensois glisse que le Grand Conseil a aussi ses responsabilités dans la maîtrise des finances. «En baissant, par exemple, la cadence de ses revendications et prestations.» Et d’ajouter, en posant la main sur l’épaule de Daniel Savary, assis juste devant lui:
«Le concours pour la Palme à celui qui dépose le plus d’outils parlementaires est terminé.»
Murmure…