La chronique d'Éric Bulliard: De toute façon, c’est pas de ma faute

jeu, 20. mar. 2025

Une époque formidable

De mémoire de vieux footeux, jamais on n’a autant pleurniché. Pas une défaite sans que l’on incrimine le terrain trop sec, le calendrier trop chargé ou, surtout, l’arbitrage. Certes, la tendance est aussi vieille que le foot lui-même (ou du moins que l’arrivée des arbitres dans le foot), mais les jérémiades avaient-elles déjà atteint un tel niveau? Partout, du Real Madrid à l’Atletico, de l’OM à l’OL, de l’AC Milan à Côme, partout ça se lamente, ça se plaint, ça chiale.

Si le foot ne vous intéresse pas, rassurez-vous, nous ne sommes pas ici dans la rubrique sportive et nous laisserons là les chouineurs à crampons et leurs entraîneurs. C’était juste pour donner le ton et introduire ce thème plus vaste: le «c’est pas ma faute» généralisé. Parce que non, ce n’est jamais…

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