ROMAN. Il est Bullois et écrit sous le pseudonyme de Tobias de Cassaux. Pour son premier roman, il sort, à compte d’auteur, un ovni littéraire. Un qualificatif qui n’est pas usurpé pour L’ombre des princes (320 pages): il est en effet rare qu’un ouvrage d’anticipation intègre de nombreux termes et expressions en patois, surtout lorsque l’intrigue imagine le basculement de l’humanité après l’invasion de Washington. «Grâce à l’aide de la Société des patoisants fribourgeois, j’ai pu enrichir mon texte avec des dialogues et des tournures authentiques, donnant ainsi une identité forte et originale à mon récit», explique l’auteur. XS