FORFAIT D’URGENCE. A la suite d’une décision du Tribunal fédéral, en juin dernier, les permanences et centres médicaux ne peuvent plus facturer aux assureurs maladie le forfait d’urgence. D’un montant d’environ 40 francs, il couvre les coûts liés à la prise en charge des cas urgents intervenus pendant les heures d’ouverture.
Dans une question parlementaire, Chantal Pythoud-Gaillard (ps, Bulle) évoque les potentielles conséquences d’une telle décision, entre insécurité juridique pour les prestataires et demande de remboursement des assureurs. Sans oublier le risque que les cas se reportent sur l’hôpital, où la prise en charge est par ailleurs plus chère.
Attendu en 2026
Le Service de la santé publique at-il dès lors prévu une évaluation des conséquences? «Des analyses supplémentaires ne…