AMÉNAGEMENT. Pour les députés du Centre Annick Remy-Ruffieux (Charmey) et Daniel Bürdel (Planfayon), les nouvelles zones de tranquillité définies par le canton (La Gruyère du 15 octobre 2024) inquiètent. «Les acteurs concernés – communes, exploitants des zones (notamment les remontées mécaniques), offices du tourisme et autres parties prenantes – n’ont pas été consultés en amont ou leurs avis n’ont pas été pris en compte». Ils demandent donc au Conseil d’Etat quelle procédure a été suivie, et s’il «tiendra compte des remarques des intérêts autres qu’écologiques». XS