En ouverture de saison, Nuithonie propose quatre spectacles et une exposition autour de l’art brut. Regarde bien ce que je suis aborde le thème sous diverses facettes et se révèle bouleversant.
ÉRIC BULLIARD
THÉÂTRE. Il y en a des tout simples, tendres et émouvants, dans la bouche de Rose. D’autres plus ironiques, chez ces spécialistes d’histoire de l’art qui s’écharpent. D’autres encore, cinglants, dans les chansons évoquant le destin tragique de Marguerite Sirvins. Il y a ceux l’on vous susurre à l’oreille dans l’installation baptisée La nécessité et le torrent verbal accompagnant la vie d’Augustin Lesage.
Tous ces mots de Fabrice Melquiot vous emportent, en jaillissant de Regarde bien ce que je suis, le festival que Le Magnifique Théâtre propose encore ce week-end à Nuithonie. Avec…