TRON: ARES. Quinze ans plus tard, Tron revient. Après le film classique de 1982 et son héritage de 2010, cette nouvelle itération intitulée Ares agit à la fois comme suite et redémarrage de la franchise. En fait, comme pour beaucoup de choses dans ce long-métrage, les auteurs jouent de l’indécision, au grand détriment de la cohérence, de l’approfondissement des personnages et plus globalement du scénario et des dialogues particulièrement mièvres. On retrouve ainsi des noms connus pour les familiers de la licence, qui semblent agir tant pour faire les liens, même ténus, avec les versions précédentes, que pour un fan service pas toujours utile.
Julian Dillinger (Evan Peeters) est le nouveau dirigeant de la société qui porte son nom de famille. Avide et à l’éthique vacillante, il tente…