En décembre 2012, le Législatif avait déjà accepté un crédit de 2,8 millions. Ce qui signifie que le coût des travaux est aujourd'hui estimé à 5 millions. Pour rappel, la zone avale du chantier de Nespresso a été utilisée comme décharge pour les entreprises de terrassement et de construction de 1970 à 1990. Lors de la vente du terrain à Nespresso, la commune s'était engagée à fournir à l'entreprise une surface "propre à la consommation".
La pollution à l'amonium pose particulièrement problème. Le volume de déblai contenant ce produit chimique est près de quatre fois plus élevé que prévu, passant de 5000 à 18'000 mètre cube. Le coût du traitement étant proche de 200 francs par mètre cube.
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