Le musée Giger accueille l’exposition de Martin Schwarz. Entre romantisme et hommage à son hôte, les œuvres de l’artiste sont à admirer jusqu’au début avril.
MAXIME SCHWEIZER
GRUYÈRES. «J’ai beaucoup d’émotion et de fierté à revenir ici. Dans le musée d’un ami.» Samedi, Martin Schwarz a paru ému au moment de célébrer le vernissage de son exposition. Intitulée Le profane et les traces du religieux, elle mixe les genres avec habileté et durera jusqu’au début avril.
L’artiste né à Winterthour a présenté les quatre galeries. Une pour chaque thème. Un couloir romantique, une salle en hommage à Hans Ruedi Giger et une dédiée à l’interprétation religieuse. La dernière présente une nouvelle technique que le Zurichois s’est appropriée. Les toiles, réalisées à l’aide de chablons, apparaissent en…