Vivons bienheureux·ses, soyons inclusif·ves

jeu, 16. nov. 2017

Une époque formidable

Le premier réflexe, avec l’écriture inclusive (autrement dit non sexiste), serait de railler ses thuriféraires sur l’air de: «Vous n’avez pas de meilleures causes à défendre?» Et puis, on écoute, on réfléchit, et on se dit: «Après tout, pourquoi pas?» Si ça peut aider, hein… C’est que le sujet est grave, l’heure aussi, les fautes encore plus: l’Académie française parle de «péril mortel» pour notre chère langue. Diantre, fichtre, palsembleu. Remarquons d’abord que «mortel», dans la bouche pâteuse de ces 40 immortels ne manque pas de sel. Précisons ensuite que l’écriture inclusive voudrait que l’on écrivât «ces 40 immortel·le·s», pour autant qu’on réussît à trouver sur le clavier ce monètchâde point milieu, dit aussi point médian (si jamais, c’est Alt-Maj-h).

Ses…

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