Ces «petits» qui rêveront toujours plus grand

sam, 23. juin. 2018

Depuis le début de cette Coupe du monde, joueurs, entraîneurs, journalistes et consultants le répètent inlassablement: «il n’y a plus de petites équipes». Ce constat a si souvent été rabâché depuis neuf jours qu’il a fait oublier un autre poncif, le fameux «match après match». Et si on prend match après match, c’est vrai finalement que certains présumés «petits» se sont élevés à des altitudes inattendues dans ce mondial russe. Qui croyait l’Iran capable de battre le Maroc et de tourmenter l’Espagne? Qui aurait misé un seul rouble sur la Russie, autant décimée que décriée, en tête de son groupe?

Des «petits» qui se font grands, un classique qui revient tous les deux ans. Toute l’Europe se souvient de l’Islande, en 2016, et le monde du Costa Rica, en 2014. C’est neuf, c’est rafraîchissant,…

L'article complet n'est disponible que pour les abonnés.

Annonces Emploi

Annonces Événements

Annonces Immobilier

Annonces diverses