Cinq tavillonneurs viennent de recevoir leur diplôme au terme de la première volée de formation romande.
Dans l’attente d’une reconnaissance fédérale, l’avenir de cet apprentissage reste dans l’incertitude.
Deux Fribourgeois, Olivier Voirol et Grégoire Gachet, témoignent de leur ressenti au terme de trois ans et demi de cours.
CHRISTOPHE DUTOIT
TAVILLONNEURS. Pour la première fois, l’Association romande des tavillonneurs (ART) a décerné, le 6 octobre, leur diplôme à cinq apprentis. Parmi eux, Olivier Voirol (33 ans, Fribourg) et Grégoire Gachet (37 ans, Echarlens). Au moment où la pérennité de cette formation n’est pas acquise (lire ci-dessous), les deux tavillonneurs indépendants évoquent leurs expériences, leurs critiques et leurs espoirs dans l’avenir de cette profession. Dialogue.
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