Samedi cinéma

sam, 06. oct. 2018

Aladin, à la fin, c’en devient risible

ALAD’2. A la une, je libère Bagdad du terrible vizir. A la deux, je m’ennuie au palais et je tremble à l’idée de demander la princesse en mariage. Deuxième volet des aventures d’Aladin sous les traits de Kev Adams: une mélasse de blagues qui colle aux basques, une succession de gags qui peinent à construire une intrigue, une histoire qui se cherche, un récit malmené par l’action qui lui tombe sur le coin de la gueule. Bref, de la vanne à tout va.

«A La Dinde» tourne en rond dans son palais jusqu’à ce que le terrible shah Zaman débarque pour s’emparer de la ville et de la princesse. Aladin est marron, il s’enfuit comme un péteux sur son tapis riquiqui. Pour sauver l’honneur et sa belle, il va tenter de récupérer son ancien Génie. Alad’2fonctionne…

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