Huit ans après Everybody knows, The Young Gods publient enfin leur nouvel album. Avec le retour de son premier «homme-orchestre» Cesare Pizzi, le groupe fribourgo-genevois raconte la composition de cet opus et évoque ses projets à venir.
CHRISTOPHE DUTOIT
Quelle place le doute et la remise en question ont-ils eue dans la création de Data mirage tangram?
Franz Treichler. Tout s’est enchaîné logiquement. Cometo (Al Comet) ne savait pas trop ce qu’il voulait faire. Cesare nous a rejoints pour jouer sur scène les deux premiers albums. De fil en aiguille, il est resté. Durant deux ou trois ans, on ne savait plus trop sur quel pied danser. Dès qu’on s’est dit qu’on allait faire de la nouvelle musique, le doute a disparu.
Comment s’est passé le retour de Cesare Pizzi?
Bernard (Trontin, le…