«La Liberté» aussi recourt au chômage partiel

sam, 04. avr. 2020

PRESSE ÉCRITE. A l’instar de La Gruyère (voir page 1), La Liberté, également propriété du Groupe Saint-Paul, baissera le taux d’occupation de ses équipes. Cela à compter du 20 avril, sous réserve de l’autorité compétente. Cette décision fait suite à la diminution brutale des revenus publicitaires et à des perspectives économiques fortement assombries par la pandémie de Covid-19. «Malheureusement, la diminution de notre force de frappe, nécessaire sous l’angle économique, se verra dans nos pages, alors même que nos lecteurs n’ont jamais eu autant besoin d’une information vérifiée, hiérarchisée et mise en perspective», explique Serge Gumy, rédacteur en chef de La Liberté, qui appelle au passage la Confédération et le canton à débloquer une aide d’urgence en faveur des médias privés.

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