Les œufs et lapins de Pâques ne demandaient plus qu’à être chassés dans les jardins. La nouvelle du semi-confinement est tombée comme un coup de massue sur les chocolatiers. Ils ont dû s’adapter à la situation. Tour d’horizon de quatre commerces de la région.
MEHDI PICCAND
Pâques, ses œufs, ses lapins, ses fantaisies sucrées… L’événement est un temps fort, un incontournable, attendu de pied ferme par tous les chocolatiers. Ils réalisent durant cette période une bonne partie de leur chiffre d’affaires annuel. C’est aussi un moment où ces artisans peuvent laisser parler leur imagination et faire vivre leurs plus belles créations.
Réduire la voilure
Mais cette année, l’événement printanier n’a logiquement pas la même saveur. La faute au semi-confinement imposé par le Covid-19, empêchant…