Cette lectrice nous adresse un courrier «au nom des étudiants fribourgeois, mais aussi au nom des parents et des professeurs liés à leur cause».
A la suite de la décision du Conseil fédéral de ne pas prendre de mesure commune pour tous les gymnasiens suisses, Fribourg reste, à l’heure actuelle (n.d.l.r.: hier), l’unique canton suisse romand à vouloir maintenir les examens écrits.
Nous ne comprenons pas cette insistance à vouloir délivrer une maturité – ou plutôt la moitié d’une maturité – à une minorité excessivement ridicule d’étudiants. Minorité qui, de surcroît, se dirigera, si elle obtient son papier malgré les conditions fortement inadéquates dans lesquelles elle a étudié depuis deux mois, dans les mêmes universités et hautes écoles que nos camarades vaudois, genevois ou encore…