Dans son premier recueil de poèmes, le Fribourgeois Matthieu Corpataux égrène quelques souvenirs et s’interroge: pourquoi la mémoire conserve-t-elle ces moments futiles? Etonnant et ludique.
ÉRIC BULLIARD
Forcément, avant même de parler de son premier livre, on commence par nos situations de demi-confinés. Le «travail qui empêche de trop tourner en rond», les soirées théâtre qui manquent tellement, la technologie qui lui permet de quand même donner ses cours à l’Université…
Forcément, avec Matthieu Corpataux, on finira par évoquer ses multiples activités de médiateur culturel. Elles ont débuté par la revue en ligne L’Epître, créée à 18 ans, qui s’apprête à fêter le 800e texte publié sur www.lepitre.ch et qui a engendré des ateliers d’écriture, des expositions, des lectures…
Egalement…