L’eau potable de plusieurs villages glânois abrite des taux trop élevés de métabolites du chlorothalonil. Après l’annonce du canton, les communes ont réagi. Les conséquences sont essentiellement financières.
VALENTIN CASTELLA
EAU POTABLE. Le Conseil d’Etat a annoncé la semaine dernière que plus de 40% des ressources en eau potable affichaient des taux de métabolites du chlorothalonil supérieurs à la valeur limite de précaution (La Gruyère du 7 juillet). Une situation qualifiée de préoccupante qui touche notamment plusieurs communes de la Glâne.
Si le canton insiste sur le fait que l’eau est toujours potable, ce fongicide, utilisé durant un demi-siècle pour la culture avant d’être interdit le 1er janvier dernier, est toutefois placé dans la catégorie des substances probablement…