En parler devrait être interdit
DIVORCE CLUB. Michaël Youn dans toute sa splendeur! On aime ou on n’aime pas. Nous, on n’aime pas. Dans Divorce Club, une fille tâte les couilles d’un gars avant de lui planter ses doigts sous le nez, et le gars en reniflant de s’étonner: «Hmm, c’est à moi, ça?» A l’écrit, ça paraît cul-cul. A l’écran, c’est pareil.
Le film de Michaël Youn, dans lequel il ne se donne qu’un second rôle, raconte les turpitudes de matous divorcés, bien décidés à faire contre mauvaise fortune bon cœur, jusqu’à la décrépitude. Une bande de fêtards invétérés qui érigent leur phallus et leur vanité en style de vie. Ensemble, ils créent le Divorce Club. Des quadras qui vivent comme des ados en colocation, mais pas dans une piaule, dans un palace avec piscine et Lamborghini.
Le…