A 25 ans, Etrit Dibrani s’est imposé au poste de meneur de jeu à Villars.
Rencontre à l’occasion de la reprise du championnat de Ligue nationale B.
Le Gruérien confie son envie de redonner une pleine ambition au Bulle Basket.
QUENTIN DOUSSE
BASKETBALL. Cent nonante jours ont passé et la tête s’est parfois oubliée. Les muscles, eux, n’ont rien pardonné. Samedi dernier, le retour à la compétition s’est soldé par une défaite (69-74 face à Sion) pour Villars et des douleurs pour son numéro 3. «Je suis fatigué, mentalement surtout. Ce n’est pas simple de se concentrer à nouveau durant tout un match», relève Etrit Dibrani, qui se plie – au propre comme au figuré – volontiers à l’exercice de l’interview. Stigmates d’une reprise délicate.
Avec Luke Perrottet (Gumefens), Antoine Bach (Marsens), Charly…