Rebond
PAR PAUL GROSSRIEDER*
Selon notre chroniqueur, les actions du conseiller fédéral PLR Ignazio Cassis à la tête des Affaires étrangères manquent de cohérence.
POLITIQUE EXTÉRIEURE. Il est malaisé de tirer un premier bilan des actions de notre ministre des Affaires étrangères, car ses déclarations ne sont pas toujours cohérentes. On peut remarquer que pour lui Philip Morris est un jour le bienvenu pour sponsoriser la «Swiss House» de Dubai, un autre jour non. Ou encore, Glencore est jugé exemplaire un jour, un autre non. Après avoir souhaité que la Suisse exporte des armes vers les pays en guerre civile, il a interdit à Pilatus d’assurer le service après-vente d’anciens contrats avec l’Arabie saoudite.
Plus généralement, où en sont les grands dossiers dont il a la responsabilité?…