Depuis quelques années, les poulaillers urbains fleurissent en ville de Bulle. Entre retour à la terre et production de leurs propres œufs, les citadins sont de plus en plus séduits par les gallinacés.
GLENN RAY
«Nous avons eu le coup de cœur lors d’un voyage en Indonésie, se souvient Pauline Varga. Il y avait des poules partout et cela nous a donné l’idée.» Quelques années plus tard, lorsqu’elle et son mari apprennent qu’une amie cherche à donner ses poules, ils n’hésitent pas. «Notre fille de 5 ans voulait un animal de compagnie et nous avons repensé à ces poules indonésiennes», reprend la Bulloise de 34 ans. Le couple décide alors d’adopter les trois gallinacés et de leur construire un poulailler adapté. Avec une particularité, les poules se voyant toutes attribuer des noms de……