La Pride, entre stéréotypes, exhibitionnisme et voyeurisme

mar, 28. juin. 2022

Photographier une pride semble du pain bénit. Tout y est photogénique: le flot de couleurs, l’extravagance des drag-queens, la beauté des corps, la conjoncture des symboles, comme cet homme en bredzon drapé d’arc-en-ciel. Décryptage avec le photographe Jean-Baptiste Morel.

Dans le viseur

Les dégaines rivalisent d’extravagance, les couleurs flamboient, les symboles s’enchevêtrent, comme les corps en pleine exhibition. Attention! A la Pride, les gens heureux sont contagieux. Et font le bonheur des photographes. A l’image de Jean-Baptiste Morel, mandaté ce week-end pour couvrir l’événement pour La Gruyère.

«Samedi matin, je n’avais pas encore choisi l’angle que j’allais prendre. Finalement, j’ai plongé dans le cortège et advienne que pourra.» Premier constat: la communauté LGBTQIA + se laisse…

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