La Charmeysanne Laura Hendriks mène un ambitieux programme de recherche en chimie à la HEIA.
Elle développe de nouvelles stratégies pour la datation des œuvres d’art et la détermination de leur provenance.
Elle bénéficie depuis mars d’un important subside du Fonds national suisse.
XAVIER SCHALLER
RECHERCHE. Elle a l’enthousiasme communicatif des travailleurs heureux. Que Laura Hendriks explique les isotopes de carbone, le fonctionnement de la high performance liquid chromatography ou ses protocoles de recherche, on a envie de la suivre. Même s’il faut s’accrocher et tenter de réveiller de lointains souvenirs de cours de chimie.
Cela fait six ans que la Gruérienne s’intéresse à la datation des œuvres d’art grâce au carbone 14. L’idée est née à la fin de son master à l’Ecole polytechnique…