En 2021, la Préfecture de la Gruyère ordonnait le rétablissement de l’état de droit des peintures murales de Jacques Cesa et Massimo Baroncelli, au Moderne. Le propriétaire du bâtiment a fait recours au Tribunal cantonal, sans succès.
ANGIE DAFFLON
BULLE. Le Tribunal cantonal (TC) lui donne tort une nouvelle fois. Le propriétaire du Moderne, l’architecte Michel Acquaroli, s’était une fois de plus opposé à la Préfecture de la Gruyère dans l’affaire des peintures murales de Jacques Cesa et Massimo Baroncelli. Pour rappel, ces œuvres avaient été endommagées lors de la rénovation du bâtiment bullois en 2014, alors qu’aucun permis n’autorisait d’intervention sur ces murs.
Il recourait cette fois contre le rétablissement de l’état de droit des fresques en question, ordonné en juillet 2021. Or,…