Entrepreneurs et syndicats ne sont pas parvenus à se mettre d’accord sur la convention de travail locale du gros œuvre. La discorde concerne les fortes chaleurs. Les uns veulent des mesures au plus vite, quand les autres préfèrent attendre les décisions à l’échelle nationale.
ANGIE DAFFLON
CHANTIERS. La situation actuelle est inédite, d’après les syndicats. Faute d’accord entre représentants des employés et des employeurs, le gros œuvre ne dispose plus de convention collective de travail (CCT) locale. Cette dernière a pour but de compléter la convention nationale (CN) en soutenant notamment la formation, notamment via le Fribourgfonds, soit un fonds majoritairement alimenté par les employés, qui pourrait dès lors être dissous à la fin de l’année.
Ce n’est toutefois pas sur la formation que…