Le spectacle s’appelle Tadej

jeu, 25. jui. 2024

De mauvaise foi
PAR MICHAËL PERRUCHOUD
Ecrivain et éditeur - www.cousumouche.ch 

CYCLISME. Je suis un fils de Sallanches. Oui, Sallanches 1980, championnats du monde de cyclisme où mon père m’avait mené tout bambin. Je n’y comprenais presque rien, mais j’étais pour Pollentier et Baronchelli et j’ai vu gagner Hinault.

Hinault, Bernard de son prénom, grand insupportable devant l’éternel, combattant teigneux et vainqueur en série. Capable d’enquiller les Tours de France, de gagner à Liège sous la neige comme sur les pavés de Paris-Roubaix avant de décréter qu’il s’agissait d’une «course de merde» et qu’on ne l’y reprendrait plus.

Je n’aimais pas Hinault, mais j’aurais voulu m’enflammer pour un coureur qui lui ressemble, capable de triompher sur tous les terrains, avide de démarrer, de faire…

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