Jeudi soir, les remontées mécaniques de Bellegarde ont présenté leurs premières idées concrètes pour l’avenir de la station.
«Nous ne voulons pas d’un petit Disneyland. Chez nous, les gens recherchent la tranquillité des Gastlosen», explique leur président Thomas Rauber.
Pour abaisser les coûts, la station a déjà réduit le nombre de ses employés fixes et reste désormais fermée les lundis.
CHRISTOPHE DUTOIT
Quelles sont les idées concrètes que vous avez présentées jeudi à l’assemblée des remontées mécaniques de Bellegarde?
Thomas Rauber: Nous voulons faire vivre et donner plus de possibilités aux acteurs, aux touristes et aux visiteurs en haut et en bas de la station. Au sommet du télésiège, nous allons améliorer les offres pour le pique-nique et créer davantage d’espaces pour que les familles…